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Transparent guise de réponse positive à sa discrète avance tandis qu’il se retourne vers le légiste et l’équipe du SRIJ :
       — Bon alors, qui commence ?
       Après un bref échange de politesse, le médecin prend la parole :
       — La victime a reçu un  coup  à  la  tête  –  je  vous passe j’imagine le jargon médical pour définir l’emplacement anatomique exact, vous retrouverez tout ça dans mon rapport complet, de toute façon, on voit bien à l’œil nu où elle a morflé, là (il joint le geste à la parole), sur le côté gauche du crane. Le coup a été porté  par  un  objet  dur et contondant  qui  ne  semble plus être présent dans la pièce. Avant des analyses plus poussées, je suis incapable de vous dire de quoi il s’agit,  ça peut être n’importe quoi qui correspond à cette description vague,  une matraque rigide,  un cric, un nain de jardin…, ce que vous voulez. J’espère que l’autopsie nous en dira plus à moins que vos collègues ne récupèrent des indices matériels permettant de répondre à cette interrogation. Le coup a été porté par un individu faisant face à la victime, tous deux étant alors debout.  Il a été d’une très grande violence, on peut en conséquence penser qu’il a été donné par un homme  plutôt  costaud,  d’autant  plus que l’individu qui a frappé la victime mesurait,  disons en étant large, entre un mètre quatre-vingt et  un  quatre-vingt quinze, de quoi imaginer un type au physique de basketteur, ou à la limite un jockey, mais sur son cheval alors (il dit ça d’un air pince-sans-rire, sans marquer sa saillie)… Cela étant, ce n’est pas ce coup qui a directement provoqué le décès de la victime. En tombant, sa tête a heurté le coin de son bureau, ici précisément (il désigne une tâche de sang très nette),  ça a tapé au mauvais endroit

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