On a pu croiser T.-E. VAQUETTE dans des conseils de discipline de la riante banlieue Est, dans les salles de cours de Normale Sup Paris ou les labos de physique corpusculaire du Collège de France, en garde à vue pour une chanson et même sur quelques plateaux télés, mais c'est surtout "de squats en bars, qu'opiniâtre, il traîne pour briser les certitudes façon Nietzsche à la sauce Béru" (L'Humanité), et, "précis dans le propos, libertaire dans l'esprit, intrépide dans la forme" (L'Idéaliste littéraire), tenter "d'affaiblir les pouvoirs et d'engendrer la réflexion sans apporter de réponses toutes faites" (CQFD).
"Aimant passer pour un anar de droite (voire d'extrême droite) auprès des bien-pensants politi-quement corrects (de gauche)" (Le Monde.fr), "ovni jubilatoire in-croyablement vivant et irrévé-rencieux" (Le Mague), "Vaquette n'offre pas un prêt-à-penser mais injecte du Jet WC dans les têtes pour les déboucher" (Thierry Zalic), "portant l'essence là où est le feu" (Vérole, Les Cadavres) "entre trash attitude et fuck altitude" (Intramuros).
T-E VAQUETTE - l'IndispensablE Tristan-Edern VAQUETTE, Dr ès sciences, vicomte de Gribeauval, prince du Bon Goût : voilà pour le nom décliné en totalité -, mu-sicien, écrivain, performer, est l'une des figures de l'under-ground français, le "pape du trash-intello" pour ceux qui ne souhaitent pas se forger une opinion par eux-même en lisant Du champagne, un cadavre et des putes, mais qui tiennent tout de même à pouvoir le ranger dans une boîte.
Je gagne toujours à la fin, son premier roman (Au diable vau-vert), est récipiendaire du prix Goya.
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